L'attrait caché des villes se révèle à travers le street art colombien. Découvrez ses histoires et son inspiration en explorant notre guide des trésors.
Street art en Colombie : le début de tout
Chapitre un. Le rideau se lève, les crédits apparaissent ainsi qu'un titre en majuscules : Débuts du street art en Colombie. Ce type d'art est arrivé dans le pays dans les années 80, porté par la vague punk de New York et de Londres ; cependant, en 1969, un pionnier colombien apparaît comme un héros.
MICO, un graffeur des terres de l'attrait, a émigré à New York en 1969, une ville des États-Unis où il a propagé son art dans les rues, mais cette histoire appartient à une autre ligne narrative. Retournons en Colombie.
Chapitre deux. Dans les années 80, l'art urbain en Colombie a explosé. Au milieu d'une esthétique aux looks capillaires hauts, aux couleurs acides et à une grande résistance, les murs dans les rues ont commencé à être peints.
Les murs sont devenus les "sous-titres" des sentiments sociaux. Par la suite, le street art colombien est devenu un phénomène, le résultat ? De magnifiques œuvres d'art que l'on peut découvrir lors de visites guidées ou individuelles.
Insertion : art urbain en Colombie et une représentante de luxe
Le but de cette histoire est de découvrir les principales zones de graffitis de Bogotá comme La Candelaria et le District Graffiti, les murales les plus attrayants de Colombie, l'inspiration des artistes et ce que cache leur expression, mais avant, comme dans tout bon film, nous faisons une insertion pour vous présenter...
C'était en 1996. Il y a 26 ans, à un moment où une femme, Fear First, a fait la différence dans l'art urbain en Colombie. Vous aimez les personnages qui se battent ? Fear First a été la première graffeuse du pays et son art a résisté à la discrimination de genre.
Par la suite : les murales en Colombie sont devenues une expression du ressenti de chaque génération. Des villes comme Bogotá, Medellín, Cali, Carthagène et Manizales ont commencé à donner une conception particulière au décor quotidien, leurs rues, vous voulez les découvrir ?
Tour des graffitis : les murales en Colombie
L'insertion était une introduction, le prologue d'un voyage unique à travers les rues de Colombie, des endroits qui regorgent d'art à chaque coin de rue.
La Colombie est luxuriante, sa nature est splendide, sa faune est riche. C'est le cadre parfait pour vivre un film d'aventure où les couleurs et vous êtes les protagonistes ; cependant, ses villes ont un charme particulier...
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Zones de graffitis à Bogotá, Colombie
Maintenant, c'est à vous d'être le protagoniste de ce voyage. Vous venez d'atterrir dans la capitale, à 2 600 mètres plus près des étoiles et les étoiles se sont transformées en œuvres d'art dispersées dans la ville, par où commencer ?
Achetez ce billet : tour des graffitis à Bogotá, ou, Bogotá Graffiti tour, c'est le "billet d'or" pour découvrir ce qui se cache derrière la ville la plus peuplée de Colombie, 10 millions de personnes qui illuminent un décor contrasté par le vert des montagnes et la peinture sur les rues.
Lors de ce voyage, vous reconnaîtrez l'influence du hip-hop dans la capitale, une influence qui est arrivée dans les années 80 pour rester, et que vous pourrez constater à travers les différents types d'art urbain, le graphisme ou les murales.
Vous vous promènerez dans des zones industrielles où la direction artistique et la photographie contrasteront avec les couleurs de l'art de rue. Ensuite, vous voyagerez dans le temps en arrivant à La Candelaria et découvrirez que l'époque de la colonie espagnole est toujours vivante, prêts ?
Si vous avez encore des scènes à compléter pour votre voyage... Complétez-les avec le SurFest, un festival de rue à Bogotá qui se déroule à Ciudad Bolívar.
Graffitis, Comuna 13 : de Medellín pour le monde
Nous sommes à mi-chemin du film et cette histoire devient de plus en plus intéressante : MEDELLÍN, COLOMBIE.
De la musique urbaine résonne. Les montagnes de Medellín se dégagent. Un rayon de lumière éclaire un endroit, la Comuna 13 et ses graffitis.
Sans aucun doute, l'un des meilleurs endroits pour vivre la scène urbaine artistique en Colombie. Ses habitants, sa musique, son style, tout émane de l'art et la meilleure façon de le vivre est lors du Graffitour, un parcours qui explore des lieux qui, pendant de nombreuses années, étaient isolés et recouverts par la violence, mais qui aujourd'hui sont la preuve de la transformation depuis leur propre communauté. Maintenant, l'art leur ouvre la voie.
Après avoir vécu cette expérience, vous aurez franchi le seuil de la connaissance artistique en Colombie. Maintenant, vous êtes capable de comprendre de multiples histoires du pays, alors vivez-le et laissez-vous emporter.
Killart : l'autre côté de Barranquilla
Joselito Carnaval, le Carnaval de Barranquilla, la Sélection colombienne, la musique folklorique... un film traditionnel raconté dans le nord du pays, y a-t-il un "B Story" de la capitale de l'Atlantique ? Il y en a un et il est raconté à travers l'art de rue.
KILLART : CHAPITRE FINAL
Dans cette histoire, il n'y a pas d'acteurs de second plan, tous sont des protagonistes et pour que vous vous impliquiez avec eux, nous allons les nommer : Joyce Obregón, Linda Montoya, Norella Magdaniel, des artistes de rue qui ont exposé à Killart, un espace que vous devez absolument découvrir.
Le Killart, comme dans une histoire post-apocalyptique, s'est chargé de récupérer des espaces abandonnés de Barranquilla. L'amour à disposition de zones qui ne l'ont pas reçu et le canevas d'essai sont les murs et leurs rues.
Avez-vous créé votre propre parcours ? Le street art colombien, plus vivant que jamais.
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